A million little things



Premier article de l'année, et on va parler série. Après avoir partagé mon coup de coeur pour "Lucifer", c'est au tour de "A million little things" d'avoir son article.

J'avais entendu parler de cette série à son lancement et un article de Tequi m'a convaincu de profiter de la pause hivernale pour regarder les 10 premiers épisodes. Autant dire que je les ai dévorés !

L'histoire :

Selon l'adage, "L'amitié ce n'est pas une seule chose, c'est un million de petites choses". Un groupe d'amis dont, pour différentes raisons, les vies stagnent, vont devoir faire face au suicide de l'un d'entre eux. Ce choc va les aider à remettre de l'ordre dans leurs existences et consolider leur amitié...

Pour faire simple on est sur du This is us mais en version Friends. Deux séries cultes et complètement géniales. Si vous les aimez, A million Little things est fait pour vous. Le sujet a beau être grave, on n'en est pas moins sur une série feelgood.


Ce que j'ai aimé ce sont surtout les personnages, on s'attache énormément à eux. Ils sont huit et ils ont chacun leur personnalité, mais aussi leurs problèmes. À commencer par Jon, dont le suicide laisse beaucoup d'incompréhension. Ses apparitions en flashback nous permettent de le découvrir et d'essayer de comprendre pourquoi quelqu'un qui semble tout avoir, a voulu mettre fin à ses jours. 

Mais c'est surtout Gary qui est vite devenu mon préféré. J'étais heureuse de retrouver James Roday que j'avais beaucoup aimé dans Psych pour son rôle déluré et immature. Ici, il interprète Gary, qui semble de prime abord être le cliché du comique séducteur, incapable de se poser. Mais il se révèle très vite être bien plus que ça. Son couple avec Maggie m'a tenu en haleine sur tous les épisodes. Emotions garanties.

Il y a aussi Rome. Malgré sa vie géniale, il est en pleine dépression et le suicide de son ami va lui permettre de s'ouvrir aux autres. Il n'est pas pour autant le dernier à plaisanter et tout comme son pote Gary, il sait nous faire passer du rires aux larmes.  C'est l'ami qu'on voudrait tous avoir.

D'ailleurs on aimerait faire partie de cette bande d'amis, et au fil des épisodes on a un peu l'impression d'en être.


Si au début on pense trouver une série où on va pleurer comme une madeleine, on finit par rire plus que ce qu'on pleure (même si plusieurs épisodes m'ont mis la larme à l'oeil).

Share this:

CONVERSATION

0 commentaires:

Enregistrer un commentaire